Dans un monde de plus en plus dépendant des solutions informatiques, il est désormais important de se pencher sur la consommation électrique cumulée par les ordinateurs. On parle alors de solutions écoresponsables, une mesure qui s’impose de plus en plus compte tenue de la situation actuelle. Chacun doit en effet y mettre du sien si l’on souhaite sauver la planète. Ci-dessous quelques conseils pour ceux qui projettent de monter un ordinateur basse consommation.

Bien choisir les composants

Pour monter un ordinateur basse consommation, il faut être très minutieux sur le choix des composants. C’est ce qui va en effet déterminer la puissance nécessaire pour faire tourner tout l’ensemble une fois monté. Pour faire simple, il s’agit de trouver les bons éléments sans pour autant sacrifier les performances. Heureusement, les équipements récents semblent répondre parfaitement à ce besoin. C’est par exemple le cas pour les processeurs que ce soit chez Intel ou AMD grâce à la finesse de gravure employée. Le choix devra alors se faire en fonction de l’enveloppe thermique. Un processeur qui génère peu de chaleur nécessite en effet un système de refroidissement moins important ce qui permet de réduire la consommation de quelques watts. Côté mémoire, on appréciera l’arrivée des DDR4 qui passent à une alimentation de 1,2V par rapport à la DDR3 et ses 1,65V ou encore la DDR3L et ses 1,5V. Pour ce qui est du stockage, il est fortement conseillé d’opter pour les SSDs que ce soit en terme de consommation ou de performance.

L’importance du boitier d’alimentation

Le choix du boitier d’alimentation doit se faire en fonction de la puissance requise par l’ensemble des éléments qui vont constituer l’ordinateur. Pour cela, il sera plus intéressant de passer par un site de calcul de consommation afin de déterminer la puissance nécessaire pour tout l’ensemble. Il est en effet inutile d’acheter une alimentation de 600W alors que l’ordinateur ne demande que 275W. Cela s’apparente plus à du gaspillage. Selon le budget, un modèle certifié « Platinum » ou « Gold » sera plus efficace, mais même un « Bronze » suffira largement.

Les solutions pour les pros

Pour les professionnels, il existe des solutions encore plus poussées qui se focalisent sur plusieurs critères comme l’encombrement, le bruit, la consommation, les performances et la durabilité. On parle alors de système de refroidissement « fanless », ce qui veut dire « sans ventilateur », de boitier spécialement conçu pour s’encastrer dans les murs ou sur un support spécifique ou encore de protection contre l’humidité et les poussières. Il s’agit également d’équipement répondant à des normes très strictes et notamment les exigences Energy Star.

Pendant la période de forte chaleur et la saison hivernale, utiliser la climatisation dans la voiture devient plus qu’une nécessité. En été, ce système a pour rôle de réduire et stabiliser la température à l’intérieur du véhicule. En hiver, il permet d’éliminer la buée sur le pare-brise. La climatisation présente un véritable confort pour les passagers et le conducteur. Mais pour l’environnement, est-elle aussi avantageuse ? Pourquoi dit-on que la climatisation est néfaste pour la planète ?

Le climatiseur de voiture : un gros consommateur d’énergie

La climatisation de voiture est désormais très répandue du fait qu’elle présente de nombreux atouts pour les automobilistes. Pour diminuer la température dans l’habitacle, elle prélève l’air chaud dans la voiture. Ensuite, elle le rejette à l’extérieur afin de créer un environnement plus frais. Ce processus consomme une énorme énergie, c’est pourquoi il y a une pollution climatisation voiture. Par exemple, pour un écart de 10 degrés, la voiture peut consommer jusqu’à 0.7 litres de carburant de plus pour 100 km. Climatiser un véhicule favorise l’augmentation de l’empreinte écologique.

Les fluides frigorigènes : un véritable danger pour l’environnement

Pour rafraîchir l’intérieur de la voiture, la climatisation utilise un liquide spécifique qui est les fluides frigorigènes. Comparés au dioxyde de carbone, ils présentent un pouvoir réchauffant très élevé. Ainsi, ils sont considérés comme un puissant polluant atmosphérique que ce soit pour l’eau ou les sols. Pour préserver l’environnement, ils doivent être gardés à l’intérieur du système. Ce qui est impossible, car en cas de mauvais recyclage de voiture, de panne ou de la fabrication du véhicule, ces fluides finissent par se répandre dans l’atmosphère. Comme ces gaz réfrigérants favorisent le réchauffement climatique, ils sont néfastes pour l’environnement.

Les gestes écologiques à adopter pour préserver l’environnement

Pour lutter contre la pollution climatisation voiture et protéger l’environnement et éco gestes, il faut limiter l’utilisation de ce système. Commencez par vérifier que l’utilisation de votre climatisation permet de diminuer votre consommation de carburant. Pour cela, il convient de ne pas dépasser les 4 ou 5 degrés par rapport à la température extérieure. Ainsi, vous dépensez moins d’essence ou de gasoil.

Pour adopter un geste Ecolo informatique, pensez également à entretenir régulièrement votre système de climatisation. Il convient de faire une révision au niveau des filtres à air ou des filtres à pollen chaque année. Lorsque vous constatez que le système ne fait plus son effet, évitez de le recharger en fluide frigorigène. Au cas où il y aurait une fuite de gaz nocif, procédez à un contrôle de la climatisation de votre voiture.

Pour les entreprises comme pour les particuliers, utiliser de l’énergie propre présente de nombreux atouts. Que ce soit pour le chauffage ou l’alimentation des appareils informatiques, l’énergie verte permet de préserver l’environnement et présente un geste écolo informatique. Mais quelle énergie faut-il adopter chez soi pour satisfaire ses besoins tout en adoptant un geste écologique ? Voici les caractéristiques et l’usage des 5 énergies renouvelables. Pour choisir la meilleure solution, il est important de bien comprendre les différentes options et leurs impacts, notamment en considérant les aspects liés aux {anchors}.

Les énergies complémentaires pour produire de l’électricité de manière permanente

Pour produire l’électricité de façon permanente, il est possible d’utiliser 3 types de système. L’utilisation conjointe d’énergie solaire et éolienne, par exemple, offre une solution intéressante. Vous avez l’énergie solaire. Comme son nom l’indique, elle est issue des rayons du soleil. Ces derniers sont absorbés par des capteurs pour obtenir du courant. Cette énergie dépend donc du niveau d’ensoleillement.

Pour protéger l’environnement et eco-gestes, vous pouvez utiliser l’énergie éolienne. Il consiste à utiliser des aérogénérateurs composés de pales qui captent l’énergie cinétique du vent. À l’aide d’un générateur, cette dernière est transformée en électricité renouvelable. Le développement des solutions d’énergie solaire et éolienne est un enjeu majeur pour la transition énergétique. Quant à ce type d’énergie, il est performant selon le débit du vent. L’intégration de ces technologies dans un système énergétique global est facilitée par l’utilisation de {anchors}.

Enfin, le troisième type d’énergie l’énergie hydraulique. Elle est considérée comme la première source d’énergie mondiale. Écologique, elle produit de l’électricité sans émettre de déchets ni de gaz carbonique néfaste à l’environnement. Son principe consiste à exploiter le déplacement d’eau ou des courants marins. Ce système est utilisé pour stocker de l’énergie.

La combinaison de ces 3 types d’énergie permet de bénéficier d’une électricité de façon permanente. Un bon choix de {anchors} permet d’optimiser la performance et la fiabilité du système.

La biomasse : l’énergie issue de la combustion des matières organiques

La biomasse fait partie des 5 énergies renouvelables. Elle consiste à produire de l’énergie en utilisant des ressources à savoir le bois ou des déchets végétaux agricoles comme les noix de coco, la canne à sucre, etc. Ce type d’énergie verte est utilisé dans différents cas comme les usines de chaufferie à bois ou d’incinération de déchets et aussi pour le chauffage particulier. À noter que la biomasse est considérée comme une énergie écologique étant donné qu’elle n’émet aucun gaz à effet de serre. Elle ne pollue pas l’environnement. L’utilisation efficace de la biomasse nécessite une gestion adéquate des {anchors}.

La géothermie pour se chauffer de façon écologique

La géothermie énergie constante consiste à utiliser la chaleur stockée dans les couches superficielles terrestres ou la croûte terrestre. Elle est utilisée pour le chauffage de l’eau dans les maisons ou les grands bâtiments, mais également pour la production de l’électricité. L’avantage de ce système est qu’il s’agit d’une énergie constante. Elle est indépendante des conditions atmosphériques. Elle n’émet aucun gaz carbonique. Pour un déploiement efficace, il est important de considérer les différents aspects liés aux {anchors}.

Il est presque de coutume, surtout dans les pays riches, d’avoir plus de nourriture que de bouches à nourrir. Chacun perçoit cette routine comme un geste anodin. Et pourtant, elle contribue grandement au gaspillage de la nourriture. Il est grand temps de changer la réalité des choses en adoptant ces gestes simples mais qui font toute la différence.

Revoyez vos habitudes d’achat

Pour réduire gaspillage alimentaire, commencez par acheter mieux. Avant de sortir pour faire vos achats, dressez toujours une liste de courses. Cette liste vous évitera les achats à l’improviste pour mieux vous concentrer sur les ingrédients nécessaires aux repas prévus. Aussi, privilégiez les marchands qui se trouvent à proximité de votre maison afin de bien gérer votre approvisionnement alimentaire. Achetez en fonction des besoins quotidiens de chaque membre de famille et évitez les excédents. Si vous avez encore des restes d’aliments à disposition, adaptez vos prochains menus en incluant ces ingrédients. Vérifiez également les dates de péremption avant tout achat de nourriture, mais pas au point d’en devenir paranoïaque. En effet, s’il s’agit d’un aliment qui sera consommé dans les jours qui viennent, il n’est pas vraiment nécessaire de prendre un produit qui dispose encore d’une large période avant sa péremption. Choisissez plutôt celui qui risque de finir à la poubelle dans une semaine ou moins si personne ne l’achète.

Dites non à la discrimination alimentaire !

Réduire gaspillage alimentaire, c’est aussi voir le meilleur dans les fruits et légumes les moins esthétiques. Beaucoup de consommateurs s’abstiennent d’acheter ces produits parce qu’ils ne sont pas agréables à regarder. Pourtant, ils ne sont pas pour autant moins savoureux. Il est affligeant de voir toutes ces nourritures qui pourraient se retrouver sur notre table être jetées sans la moindre hésitation, tout simplement parce qu’elles ne sont pas jugées conformes au calibrage ou à l’esthétique requise par les distributeurs.

Faites bon usage de votre réfrigérateur

Troisième astuce pour réduire gaspillage alimentaire, c’est de bien conserver ses aliments. Placez vos produits frais au réfrigérateur à une température supérieure à 5° C. Pour la viande et les volailles, ainsi que les produits laitiers, réglez la température entre 0° C à 4° C. Si vous avez besoin de surgeler vos aliments, la température idéale est de -18° C. Les aliments qui seront mangés plus tôt que les autres se placent à l’avant du frigo. Les restes de nourriture sont laissés à l’air libre dans un récipient hermétique pendant 30 minutes afin de refroidir, avant d’être mis au frigo. Évitez de remplir complètement votre réfrigérateur afin de laisser l’air circuler.

Pour rester sain, les docteurs conseillent de consommer des aliments frais et bio. Mais ces derniers sont-ils toujours bons pour la santé ou, derrière ce tag « 100 % bio » se cache-t-il une autre face de la réalité ? S’agit-il seulement d’une autre stratégie marketing pour écouler les produits sur le marché ? L’importance de l’alimentation biologique et santé est souvent débattue.

Qu’entend-on par produits bio ?

À ne pas confondre avec la nourriture naturelle ou diététique, un produit bio est issu d’une agriculture biologique. Il s’agit d’un aliment végétal ou animal produit à partir d’un mode de production sans utilisation de produits chimiques. À la place, les agriculteurs utilisent ce qu’on appelle des « engrais verts », c’est-à-dire une culture où l’on alterne entre légumineuses et diverses plantes à enracinement profond. Le compost est également beaucoup employé dans la production de produits bio.

Dans quelles circonstances consomme-t-on des aliments bio ?

Les produits bio sont plus onéreux que les denrées conventionnelles, il faut donc savoir choisir le bon moment pour en consommer si vous voulez une meilleure santé. La compréhension des liens entre alimentation biologique et santé est cruciale pour faire des choix éclairés. Privilégiez ce type de nourriture dans les cas où le produit conventionnel renferme vraiment une quantité de pesticides trop élevée et particulièrement dangereuse pour la santé, ce qui est le cas des aliments suivants :

– les fruits comme la pomme, le raisin, la fraise, la nectarine, la cerise, la poire et la pêche.

– les légumes tels que la salade, le céleri, la pomme de terre, le poivron et le haricot vert.

– les œufs, le lait, le beurre, la viande et les volailles.

Bienfaits et risques sur la santé

Comme toute chose, un produit bio n’est ni tout noir ni tout blanc. Certes, il est en général meilleur pour notre santé, puisqu’il ne contient pas de produits chimiques nocifs. En plus de cela, les agriculteurs cueillent toujours ce type de produit à maturité pour conserver leur goût et leur saveur. Les céréales bio sont aussi plus riches en minéraux et les viandes contiennent moins de gras. Toutefois, il revient plus cher qu’un produit conventionnel et ne se trouve rarement en dehors des magasins spécialisés. Le débat sur l’alimentation biologique et santé est complexe, car il faut peser les avantages et les inconvénients. Aussi, ce mode de production ne garantit pas forcément une meilleure qualité du produit final. Par exemple, les épinards et les carottes bio contiennent, eux aussi, des nitrates qui se transforment en nitrites (additifs alimentaires favorisant l’évolution de certains cancers). Il est aussi important de noter que les précautions d’hygiène ne doivent en aucun cas changer même pour des produits dits bio : toujours veiller à bien les laver avant de les consommer, car ils peuvent tout aussi bien contenir des microbes.

De nos jours, la protection de l’environnement contre le réchauffement climatique est au cœur des débats. La voiture étant l’un des moyens de transports les plus polluants, il apparaît donc nécessaire d’adopter de nouvelles habitudes et de réinventer la façon de se déplacer.

L’adoption de nouveaux moyens de déplacement.

Concernant le déplacement en voiture, l’adaptation des comportements au volant s’avère être un moyen efficace pour économiser du carburant et en même temps protéger l’environnement. C’est le principe même de l’éco-conduite.

La meilleure chose à faire consiste à utiliser sa voiture le moins possible et de privilégier les autres moyens de déplacements. C’est d’ailleurs prouvé pour les déplacements en ville et pour les courts trajets.

Il en est ainsi du covoiturage et de l’auto-partage, les transports en communs ou même le vélo et la marche à pied.

Une telle hypothèse n’est cependant pas envisageable dans le cas des personnes qui ne peuvent pas du tout se passer de leur voiture en raison de leurs activités ou encore, la longueur du trajet. Là encore, l’adoption de la conduite écologique reste une solution efficace. La meilleure chose à faire dans ce cas, c’est de s’acquérir les conseils d’un établissement spécialisé. Il y a par exemple l’adoption de certains réflexes au volant comme la façon de conduire, le bon passage de rapports, l’utilisation réduite du climatiseur et des autres appareils électriques.

La réinvention des moyens de transports grâce aux nouvelles technologies

Sur les modèles de voitures classiques, on voit actuellement l’apparition de nombreux systèmes d’aide à la conduite intégrés qui permettent au conducteur d’adapter ses comportements au volant. Aussi, il y a les applications qui se branchent facilement à la voiture et qui permettent facilement de suivre en temps réel sa consommation d’énergie et de carburant.

Les avancées technologiques ont par ailleurs amené à l’apparition de véhicules d’un nouveau genre qui consomment beaucoup moins de carburant que ces modèles classiques. Il s’agit plus précisément des voitures hybrides qui combinent le moteur thermique avec un moteur électrique, et aussi la voiture totalement électrique qui fonctionne uniquement grâce à des batteries.

L’importance capitale du choix du véhicule adéquat

Les données scientifiques démontrent une nette économie en carburant lorsque les consignes relatives à l’éco-conduite sont bien respectées.

Il apparaît donc nécessaire de bien choisir la voiture adaptée à ses déplacements et à la longueur du trajet quotidien. L’intérêt c’est que l’adoption d’un comportement plus responsable est bénéfique pour tous. Il faudrait dans ce cas prendre en compte comme critère de sélection : la marque du véhicule, la puissance du moteur, mais surtout la consommation en carburant.

Il est donc conseillé de choisir les modèles hybrides ou encore totalement électrique au moment de l’achat. L’avantage de ce genre de véhicule réside dans l’économie réalisée sur le plan économique grâce à leur faible consommation de carburant mais aussi sur le plan purement écologique.

L’électroménager classe A écologique ? Cette question a lieu de se poser compte tenu du nombre de consommateurs qui choisissent cette catégorie. Pour ces derniers, opter pour cette classe d’appareils électroménagers constitue un geste écologique.  On se demande alors si ces appareils sont réellement écologiques ou si c’est juste de la publicité.

Que signifie les cigles A, A+, A++ et A+++ sur les appareils électroménagers ?

Lorsque vous achetez un appareil électroménager, vous voyez souvent les notes A, A+, A++ ou A+++. Ces notes indiquent la classe énergétique de l’appareil que vous comptez acheter. Que ce soit sur un lave-vaisselle, un congélateur, un réfrigérateur ou encore un lave-linge, vous pouvez reconnaître la classe énergétique du modèle en lisant la note qui y est associée. En voyant la lettre A, vous pouvez vous dire que vous avez un modèle offrant une bonne économique d’énergie. La présence du symbole « + » vous renseigne également sur la portée écologique de l’appareil. Si ce dernier affiche la note A+++, cela signifie qu’il consomme 70% de moins qu’un modèle affichant A+. Chaque «  + » rajouté indique un taux de consommation en moins.

Les appareils électroménager de classe A sont-ils satisfaisants ?

Si vous voulez profiter d’une bonne économie d’énergie lors de l’achat d’un appareil électroménager, portez votre choix sur les modèles comportant la note A. Contrairement aux modèles classés D, ceux affichant la note A vous permettra d’économiser jusqu’à 100€. Certes, les appareils classés A sont intéressants car reconnus économiques mais ils sont moins intéressants que ceux classé A+, A++ ou encore A+++. Ces derniers sont nettement plus satisfaisants car permettent de réduire de manière significative votre consommation en énergie. Si vous cherchez l’appareil électroménager le plus économique, portez votre choix sur celui présentant l’inscription A++.

L’électroménager classe A offre-t-il vraiment une meilleure économie d’énergie ?

Entre les appareils présentant les notes A, B, C, D, E, F et G, le choix est clair si vous voulez d’un modèle peu gourmand en énergie. Cependant, il existe d’autres notes comme le A+, le A++ et le A+++. La présence du symbole « + » signifie ici une meilleure économie d’énergie. Plus le nombre de « + » est élevé, plus la consommation de l’appareil est moindre. Toutefois, certains clients affirment que les appareils écologiques sont peu performants. Pour éviter d’être déçu, informez-vous auprès du vendeur quant à la performance et la fiabilité du produit avant de prendre votre décision.

L’émission de gaz à effet de serre se relève à environ 9 tonnes de CO2 par an par personne. Chaque geste que vous faites peut engendrer l’émission de ce gaz. Or, le CO2 peut entraîner des dérèglements climatiques importants sur la planète. Afin d’éviter cette dégringolade climatique, l’émission par an par personne de CO2 devrait diminuer jusqu’à 2 tonnes. De ce fait, comment réduire avec simplicité et efficacité les émissions de CO2 à l’échelle des foyers ? Voici quelques astuces qui pourront vous aider à changer quelques habitudes pour réduire l’émission de CO2.

Changement dans les transports

Afin de réduire ses émissions de CO2, il est essentiel de changer ses habitudes de déplacements. Les moyens de transport sont coupables de l’émission de 29% de CO2. Pour économiser entre 500 kg à 7 tonnes ou plus, évitez de faire des trajets à longue distance parce que cela vous donne l’occasion de voyager très loin et très vite. Le voyage en avion est un parfait moyen d’émission de CO2 en quantité massive. Essayez de passer vos vacances en restant au pays au lieu de traverser le monde. Lorsque vous partez en voiture, ouvrez les fenêtres et éteignez les climatiseurs qui sont des responsables de l’émission de CO2. S’il est possible de vous déplacer à pied, ne vous hésitez et plus de cela, c’est une occasion pour vous de faire du sport.

Changement dans les foyers

À la maison, vous devez aussi faire des changements pour réduire ses émissions de CO2. Pensez à isoler vos toits, vos murs ainsi que le plafond et installez des doubles vitrages. Veillez à ce que la température de votre foyer ne dépasse 19° pour économiser 7% d’énergie. Débranchez également les appareils électriques que vous n’utilisez pas, car en étant branché, même s’il ne tourne pas, il consomme toujours de l’énergie, donc il émet du CO2. Enfin, faites aussi baisser votre consommation en énergie d’électricité et de chauffage pour diminuer l’émission de CO2.

Changement dans les industries

Dans le cadre de l’industrie, il est aussi indispensable de faire des changements pour réduire ses émissions de CO2. Concernant les matériels informatiques, augmentez leur durée d’amortissement et réduisez le nombre d’imprimantes à utiliser. Tempérez aussi l’utilisation du papier. Pour minimiser le déplacement, optimisez le télétravail et privilégiez la vidéoconférence et le web conférence. Préférez les déplacements par voie ferroviaire que les avions pour économiser de l’énergie et surtout pour réduire l’émission de CO2.

De nos jours, limiter l’émission des gaz à effet de serre devrait être un objectif que chaque personne se doit d’atteindre personnellement. En effet, la vie de la planète est en jeu et il est important de sensibiliser chaque personne sur l’impact de chaque geste entreprise. Cette dernière peut être soit une bonne conséquence, soit une mauvaise. Aussi, il est important de prendre quelques bonnes habitudes au quotidien pour pouvoir réduire l’impact écologique.

Améliorer son utilisation domestique de l’énergie

Pour pouvoir réduire son empreinte carbone, un moyen efficace pour un résultat considérable sur le long terme est de changer les ampoules standard de la maison par des ampoules fluorescentes ou LED. Ce genre d’ampoules présentent plusieurs avantages comme une consommation minime d’énergie : le tiers par rapport aux ampoules normales ; elles s’allument immédiatement, dégagent peu de chaleur, elles sont également durables. Cependant, il est nécessaire en faisant l’achat de choisir les ampoules fluorescentes qui contiennent peu de mercure.

Pour les électroménagers comme le congélateur ou le réfrigérateur, leur emplacement doit-être bien choisi, car ils consomment environ 18 pour cent d’électricité. Pour réduire leurs empreintes, il faut éviter de les installer près du radiateur, du four ou de la lumière du soleil sinon ils vont surconsommer.

Bien choisir ses appareils électroniques

Afin de réduire son empreinte carbone, il est important de bien voir les étiquettes lors de l’achat des appareils électroniques. Chaque appareil montre sur son étiquette le diagnostic de sa consommation. Aussi, lors de l’achat d’un équipement électroménager, il est préférable d’opter pour celui qui a un bon indice énergétique de type A +++ qui consomme jusqu’à 50 pour cent de moins par rapport aux appareils de type A+. Ensuite, pour réduire la consommation en électricité, un bon réflexe est de débrancher tous les dispositifs une fois que vos appareils sont éteints. Les téléphones et ordinateurs doivent être débranchés lorsque leurs batteries sont pleines ou ne sont pas utilisées.

Diminuer l’utilisation d’eau

Pour aider à diminuer l’impact écologique, il est important d’adopter les bons gestes afin de réduire la consommation d’eau. Pour cela, utiliser un brise-jet ou un « mousseur » permet de réduire le volume d’eau consommé tout en gardant la même pression. Il est parfois plus judicieux d’utiliser des pommes de douches économiseurs permettant de réduire jusqu’à 50 pour cent d’eau en changeant le débit en microgouttelettes tout en offrant le maximum de confort. L’utilisation d’un système de double commande au lieu d’une chasse d’eau standard permet aussi d’économiser un maximum d’eau potable. En moyenne, de 9 à 12 litres pour une chasse d’eau standard sont en temps normal nécessaire. Il est également conseillé de récupérer les eaux de pluie pour économiser sur la facture d’eau à la fin du mois et pour réduire son empreinte carbone.

Depuis quelques années, le plastique connait un grand essor. Il est pratique que ce soit à la maison pour les rangements divers, qu’auprès des producteurs pour l’emballage des produits. Il est également rentable en termes de coût. Il l’est nettement moins pour l’environnement.

Remplacer le plastique dans la maison

Le plastique est très utilisé dans la maison pour le rangement. Pour conserver les aliments dans le réfrigérateur, ou les grains dans les placards, on peut opter pour les bocaux ou des boîtes hermétiques. Il y a aussi les films étirables, qu’on peut remplacer ces objets en plastique par du tissus recouvert de cire d’abeille. Ainsi, il devient étanche et malléable. Pour les brosses à dents, il existe des tiges en bambou ou en bois. Ou encore les brosses à dent réutilisables, où seuls les têtes changent, mais les manches restent. Il y a encore les jouets en plastique qui peuvent être remplacés par les jouets en bois, en tissus ou en liège. Et enfin, les pinces à linges existent également en bois.

Remplacer le plastique auprès des vendeurs

Il faut également remplacer des objets en plastique comme les bouteilles ou les sachets sous vide. Il faut alors promouvoir la vente des boissons en bouteille de verre qui sont réutilisables par les systèmes de consignation. Ou encore inciter les gens à emporter des gourdes réutilisables. Pour les sachets, il faut promouvoir la vente des aliments en vrac, en invitant les clients à ramener des contenants réutilisables. Il faut également éviter d’acheter les fruits prédécoupés ou tout autre produit en barquettes en favorisant les boîtes lavables, ou les aliments faits-maison. Enfin, à la place des sachets pour les courses, opter pour des sacs en coton ou en tissus, en jute, en papier, voire même en osier.

Remplacer le plastique à usage unique

Les plus utilisés sont les couverts et les pailles. On peut remplacer ces objets en plastique par de la vaisselle en mélamine ou en plastique réutilisable qu’on peut laver. Les pailles peuvent être remplacées par les pailles en bambou ou en papier, ou carrément la supprimer en utilisant des gobelets permettant de boire directement. Pour les cotons tiges, utiliser du simple coton, ou des cures oreilles qu’on peut nettoyer après usage. Pour les serviettes hygiéniques, favoriser plus les protections hygiéniques lavables. Enfin, pour les produits cosmétiques, tels que les shampoings, les gels douches, les savons ou même les déodorants ; on évite d’acheter des produits tout faits et emballés, mais plutôt les fabriquer soi-même, à l’aide de produits plus naturels.

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